
16 ans, le garçon s’interroge de plus en plus sur les zones d’ombre que compte son existence. Venue de nulle part, une jeune fille le contacte secrètement et l’incite à fuir avec elle. Mais comment sortir de ces murs ? Devant eux, le mystère est bien plus grand qu’ils ne l’imaginent… »
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Hello Stranger, en janvier je me suis plongée dans le roman d’Eric Senabre, La Seizième Clé, reçu grâce à Netgalley et les éditions Didier Jeunesse. Ce roman m’a intrigué par son résumé plutôt énigmatique, et honnêtement, je ne pensais pas que l’histoire allait prendre cette tournure.
Je m’attendais à une sorte d’escape game, plutôt classique, d’Oswald, le personnage principal cherchant à s’échapper d’Hemyock. Pourtant, même si on a l’aspect escape, l’auteur a construit un univers beaucoup plus dense autour de ce concept, alliant voyage dans le temps et distorsion de l’espace.
Je ne te le cache pas, les explications sont parfois un peu compliquées à comprendre. L’auteur y a un inclut une dimensions scientifique un peu trop prononcée pour ma pauvre cervelle (ouai j’étais super nulle en physique chimie, sorry), du coup je n’ai pas voulu trop me prendre la tête et je me suis laissée porter tranquillement du début à la fin sans chercher à élucider les mystères trop tôt. Honnêtement, je pense que si on cherche trop en profondeur le pourquoi du comment, c’est un coup à se retourner le cerveau, littéralement.
Bref, du coup c’est tout de même un roman sympa à lire. L’histoire démarre doucement mais devient de plus en plus entraînante, j’avais vraiment envie de savoir comment tout cela allait se terminer.
La fin est mignonne, un peu flou à cause des explications rocambolesques et beaucoup trop scientifique / science-fiction, mais sympathique et j’ai beaucoup aimé la petite touche finale ajoutée par l’auteur.
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